Enquête : êtes-vous pour les tests rapides dans le cadre d’un mariage ?
Et si des tests rapides étaient mis en place pour autoriser l’organisation de mariages avec des restrictions moins conséquentes ?
On vous a posé la question dans une enquête (réalisée par House of Weddings) et vous avez été 741 à répondre. Afin de viser l’exhaustivité, nous avons ciblé un échantillon de 584 répondants. De quoi tirer déjà des conclusions pertinentes.
Et sans surprise, la réponse est globalement : oui !
Détails sur l’échantillon de répondants
Sur cet échantillon, plus de la moitié des répondants sont des mariés (59,42%).
Les invités (16,78%) et les prestataires de mariages (23,80%) composent le reste de l’échantillon.
L’enquête a également été remplie principalement par des femmes (79,97%). Sur les 584 répondants, seuls 116 étaient donc des hommes.
L’enquête a été principalement remplie par des Flamands. Seuls 50 Wallons et 27 Bruxellois y ont participé.
L’âge moyen des répondants se situe entre 20 et 40 ans.
Réactions des mariés
Au total, 347 mariés ont répondu à l’enquête. La majorité d’entre eux (88%) ont indiqué qu’ils étaient favorables à faire un test avant le mariage.
20 répondants ont indiqué qu’ils avaient déjà été vaccinés et que par conséquent et ne voudraient donc pas être testés. 20 autres répondants ont indiqué qu’ils ne voulaient pas subir un test rapide, mais pour d’autres raisons.
Nous pouvons en conclure, qu’en moyenne, les futurs mariés sont prêts à se soumettre à un test rapide sicela signifie que le mariage peut avoir lieu.
La grande majorité (90%) a également indiqué qu’elle accepterait de demander à ses invités de faire un test rapide avant la fête de mariage.
Toutefois, le test rapide a un prix. Et il y a une division claire dans la volonté, de la part des mariés, de vouloir payer pour ces tests ou non : 55% des répondants sont prêts à le faire, 45% ne le sont pas.
En résumé, les futurs mariés sont clairement disposés à effectuer eux-mêmes un test rapide et à demander aux invités de le faire si cela signifie qu’une fête de mariage peut avoir lieu. Un certain nombre d’aspects tels que la fiabilité, l’atmosphère et le coût seraient une raison pour certains de ne pas vouloir le faire.
En général, on peut dire que la grande majorité est disposée à faire un test : c’est donc OUI au test rapide.
Réactions Invités
Nous avons également vérifié auprès des personnes invitées à une fête de mariage si elles étaient prêtes à se soumettre à un test rapide. La réponse est plutôt claire : Oui !
96% des personnes interrogées ont indiqué qu’elles n’auraient aucun souci à faire un test rapide si cela leur permet d’assister à un mariage.
Il a également été demandé à ce groupe cible s’il était prêt à payer lui-même pour le test rapide. Ici, la réponse à cette question a été “oui” pour 80% des répondants.
Pour l’échantillon “invités”, la conclusion est claire : les invités sont prêts à faire un test rapide et à payer eux-mêmes.
Réactions de prestataires de mariage
La majorité (85%) du groupe cible “prestataires de mariage” est prête à effectuer un test rapide. Un petit nombre (6,4 %) a déjà été vacciné et le reste (9,3 %) indique qu’il y a d’autres raisons pour lesquelles ils ne veulent pas passer le test.
Il y a par contre une grande proportion des prestataires qui n’est pas prête à payer pour ce test rapide lui-même. En tant que prestataire ayant plusieurs mariages
par semaine/week-end, il s’agit d’un coût conséquent. Cela a également été indiqué comme une raison de ne pas vouloir faire le test.
Pour les fournisseurs, l’utilisation d’un test rapide est clairement plus sensible, notamment lorsqu’il s’agit du paiement du test rapide et le risque d’une interprétation erronée (positive) des tests (et donc l’annulation du mariage en dernière minute).
Mais globalement, ce groupe accepterait également de subir un test.
Conclusion : une majorité favorable au test rapide
Sur les 543 répondants finaux qui ont participé à l’enquête, la majorité accepterait un test rapide pour une fête de mariage. Pour l’échantillon ” invités “, ils étaient prêts à le payer eux-mêmes.
Dans l’échantillon “jeunes mariés”, il est également apparu qu’il y avait une volonté claire de faire le test rapide. Lorsqu’il s’agit de payer le test pour les invités, il y a une nette division (presque 50-50).
Les prestataires sont manifestement également disposés à se soumettre au test, mais sont un peu plus sceptiques que les deux autres groupes, car pour eux cela signifie que cela devrait se produire plusieurs fois par semaine, ce qui en termes d’accessibilité financière et de risque de tests incorrects – et donc d’annulation de dernière minute de leur programme de formation – est une source d’inquiétude.
Merci à House of Weddings pour la création de cette enquête et la compilation des données.